Le capitaine Dadis balançait à qui veut l'entendre : "les civils seront incapables de maîtriser l'armée, la troupe", propos relayés par tous ses soutiens, et le Mardi, après la boucherie choquante et impardonnables à laquelle il doit répondre et très prochainement, il revient pour soutenir afin de se disculper de ces massacres en avouant que :"Même le chef de l'Etat ne peut pas contrôler ce mouvement", DONC DADIS INCAPABLE.
Il menace que "c'est la France qui est perdante s'il y a rupture", avant se reprendre que "nos relations sont indissociable".
Dadis estime que se les enquêtes doivent s'orienter sur les leaders politiques que sur le BASP.
Il se permet même d'accuser les manifestants de s'être emparés d'armes après avoir saccagé des commissariats, puis c'est l"accrochage, ils se sont mis à tirer sur la population au stade.
Il reconnaît tout de même que c'était une marée humaine, qui s'est rendue à la manifestation.
Puis d'ajouter que "ça ne sert à rien d'organiser des élections, s'il y a des clans...".
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