La confiance que le peuple de Guinée s'est imposée en acceptant le CNDD au pouvoir s'avère être une erreur, une erreur que le peuple de Guinée dans sa patience saura corriger, en obligeant le CNDD qui offre aux militaires plus de fonctions que le CMRN en son temps,  à retourner dans les camps.

    Les militaires partout, certains contre leur gré, mais suivent le vent, forcés par les intimidations, les menaces, et surtout le soucis d'éviter le sort qui a été réservé au Général Tôtô Camara, et pour ne pas disparaître comme d'autres officiers l'on déjà été.

    Le Président Dadis parle tout le temps de détournement, de pilleurs..., mais depuis son arrivée au pouvoir, les tournois de football, des manifestations de soutien dont la dernière a été à l'origine d'affrontements entre les jeunes de Macenta, sont financés sans aucun contrôle, des cadeaux à des journalistes qui n'ont rien demandé, et encore...

     Mais quand les comptes seront établis, parce qu'on y arrivera avec la détermination du peuple, de sa jeunesse qui leur fait peur, l'énergie qui a été la sienne entre 2006 et la fin du régime du général Conte, et qui se contente pour l'instant de contempler ce spectacle, on s'apercevra que le CNDD a dilapidé trois à quatre fois plus au moins de ressources que le général pour la même période.

      Et tenir les forces vives pour responsables des assassinats au pont huit Novembre, et d'autres boucheries humaines est une manipulation profondement choquante pour l'âme des victimes, qui n'ont fait que demander le départ d'un régime corrompu que lui (Dadis) et certains de ses amis ont protegé par le sang de la jeunesse guineenne.

      Il accuse également les forces vives d'avoir demandé que l'organisation des élections soit prioritaire, et de laisser les enquêtes sur les tueries au pouvoir élu, ainsi que l'assemblée nationale qui sortira des législatives de mettre en place des commissions, qui pourront enquêter dans la sérénité.

      DU COURAGE PEUPLE DE GUINEE, LES MENACES, LES SACS DE RIZ, LES ENVELOPPES NE POURRONT PAS AVOIR RAISON SUR L'INTÉRÊT DE LA NATION.

VIVE LA LIBERTE
VIVE LA JUSTICE
VIVE L'UNITÉ NATIONALE
VIVE LA GUINEE.